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Le mot exil évoque généralement une exclusion forcée de son lieu d’appartenance. Mais les peurs non fondées—en particulier celles liées à l’économie—sont aussi une forme d’exils, intérieurs ceux-là. En nous détournant du bien commun, ils empêchent les sociétés d’évoluer vers leur plein potentiel. Il est plus que temps que l’on mette fin à ces exils avant que la notion même de collectivité ne perde son sens. Résolument optimiste pour la suite des choses, La fin des exils soumet quelques pistes de réflexion pour résister à l’imposture des peurs, et donner enfin au Québec l’ambition de ses moyens.
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De quoi aurait l’air une société juste envers les animaux?Comment repenser le cadre éthique, politique et social qui balise nos relations avec eux? Ces questions suscitent un débat collectif qui...
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En politique comme en amour, nos énergies sont, la plupart du temps, soigneusement contenues à l’intérieur de cadres qui «organisent» les liens qui nous unissent, et qui empêchent les révolutions...