$12.95
Le mot exil évoque généralement une exclusion forcée de son lieu d’appartenance. Mais les peurs non fondées—en particulier celles liées à l’économie—sont aussi une forme d’exils, intérieurs ceux-là. En nous détournant du bien commun, ils empêchent les sociétés d’évoluer vers leur plein potentiel. Il est plus que temps que l’on mette fin à ces exils avant que la notion même de collectivité ne perde son sens. Résolument optimiste pour la suite des choses, La fin des exils soumet quelques pistes de réflexion pour résister à l’imposture des peurs, et donner enfin au Québec l’ambition de ses moyens.
Plus de détails et versions numériques disponibles ici.
$12.95
La démocratie va mal. Menacée par l’accroissement des inégalités socioéconomiques, la manipulation de l’opinion publique et la montée d’un certain populisme aux relents autoritaires, elle parait d’autant plus fragile que...
$12.95
Les véhicules autonomes, assistants virtuels et autres systèmes d’intelligence artificielle sont conçus pour prendre eux-mêmes des décisions. Alors qu’ils sont appelés à occuper une place grandissante dans nos vies, nous...
$12.95
À l'heure des changements climatiques et d'une certaine dérive néolibérale, il nous faut de toute urgence imaginer de nouveaux récits. Les artistes peuvent contribuer à notre riposte en inventant le...