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Le mot exil évoque généralement une exclusion forcée de son lieu d’appartenance. Mais les peurs non fondées—en particulier celles liées à l’économie—sont aussi une forme d’exils, intérieurs ceux-là. En nous détournant du bien commun, ils empêchent les sociétés d’évoluer vers leur plein potentiel. Il est plus que temps que l’on mette fin à ces exils avant que la notion même de collectivité ne perde son sens. Résolument optimiste pour la suite des choses, La fin des exils soumet quelques pistes de réflexion pour résister à l’imposture des peurs, et donner enfin au Québec l’ambition de ses moyens.
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Après avoir été approchée par le directeur d'une compagnie de théâtre, Véronique Côté se lance dans l'écriture d'une pièce sur la prostitution, La paix des femmes. Au fur et à mesure de...
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L’industrie agroalimentaire a mis à mal notre rapport au territoire. Déconnecté·e·s des rythmes de la nature, nous avons perdu les savoir-faire ancestraux et confié à des entreprises le soin...
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La démocratie va mal. Menacée par l’accroissement des inégalités socioéconomiques, la manipulation de l’opinion publique et la montée d’un certain populisme aux relents autoritaires, elle parait d’autant plus fragile que...